Vendanges à Riquewihr (0010NN0011) : Différence entre versions
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|Resume_fr=Vendanges dans les vignes de la famille Hugel près de Riquewir. | |Resume_fr=Vendanges dans les vignes de la famille Hugel près de Riquewir. | ||
+ | |Description_fr=Deux hommes mettent une cuve en bois pleine de raisins sur une charrette | ||
+ | Un homme porte une hotte en bois marche vers la charrette : il y vide sa hotte | ||
+ | Un homme touille avec un bâton | ||
+ | Foule de gens dans les vignes | ||
+ | Deux chevaux tirent la charrette remplie de cuves à raisins | ||
+ | Plans des vignes où les vendangeurs s'activent | ||
+ | Les hommes sont assis dans les vignes et mangent, ainsi que de nombreuses femmes | ||
|Contexte_et_analyse_fr=La présence du vignoble est attestée en Alsace depuis l’Antiquité romaine. Cette culture a connu un premier pic au Moyen Age, profitant comme les voisins de Champagne d’une position clef au carrefour d’importants axes de communication. Les viticulteurs ont longtemps produit surtout en quantité, même si s’est peu à peu dessinée une carte tributaire des terroirs sur lesquels s’épanouit la vigne. Dans le Haut-Rhin, les collines sous-vosgiennes et la vallée du Rhin offrent un terrain idéal qui favorise l’émergence de propriétaires-récoltants-vignerons. C’est le cas de la famille Hugel, installée depuis 1639 dans le village médiéval de Riquewihr, devenu l’un des centres d’excellence du vin d’Alsace suite à l’interdiction en 1575 d’utiliser des plants non nobles. | |Contexte_et_analyse_fr=La présence du vignoble est attestée en Alsace depuis l’Antiquité romaine. Cette culture a connu un premier pic au Moyen Age, profitant comme les voisins de Champagne d’une position clef au carrefour d’importants axes de communication. Les viticulteurs ont longtemps produit surtout en quantité, même si s’est peu à peu dessinée une carte tributaire des terroirs sur lesquels s’épanouit la vigne. Dans le Haut-Rhin, les collines sous-vosgiennes et la vallée du Rhin offrent un terrain idéal qui favorise l’émergence de propriétaires-récoltants-vignerons. C’est le cas de la famille Hugel, installée depuis 1639 dans le village médiéval de Riquewihr, devenu l’un des centres d’excellence du vin d’Alsace suite à l’interdiction en 1575 d’utiliser des plants non nobles. | ||
− | Au XIXe siècle, le vignoble alsacien connaît un lent déclin en quantité et en qualité. L’annexion de la région par le Reich de Guillaume II en 1870 a coupé en bonne partie les liens commerciaux avec la France. Si au départ la région est le plus grand producteur du Reich, sa production n’est pas valorisée (on l’utilise pour couper d’autres vins) et l’importation de vins français, espagnols ou italiens fait reculer sa part. Après 1919, le vin d’Alsace a dû reconquérir sa place sur le marché national, très concurrentiel avec des régions bien mieux organisées et connues. Il s’opère par une quête de qualité avec le replantage de cépages sélectionnés, pour l’essentiel du pinot (noir et gris), du riesling et du gewurztraminer. La vendange filmée | + | Au XIXe siècle, le vignoble alsacien connaît un lent déclin en quantité et en qualité. L’annexion de la région par le Reich de Guillaume II en 1870 a coupé en bonne partie les liens commerciaux avec la France. Si au départ la région est le plus grand producteur du Reich, sa production n’est pas valorisée (on l’utilise pour couper d’autres vins) et l’importation de vins français, espagnols ou italiens fait reculer sa part. Après 1919, le vin d’Alsace a dû reconquérir sa place sur le marché national, très concurrentiel avec des régions bien mieux organisées et connues. Il s’opère par une quête de qualité avec le replantage de cépages sélectionnés, pour l’essentiel du pinot (noir et gris), du riesling et du gewurztraminer. La vendange filmée par Alfred Hugel, le propriétaire, a été comme celle de 1928 un excellent millésime qui a permis une politique de commercialisation ambitieuse. |
'''Une vendange manuelle''' | '''Une vendange manuelle''' | ||
− | La vigne présente un profil particulier typique du paysage alsacien de l’époque. La culture dite en quenouille | + | La vigne présente un profil particulier typique du paysage alsacien de l’époque. La culture dite en quenouille qui lance les ceps à plus de deux mètres du sol afin de leur éviter les brumes matinales particulièrement favorables au développement des parasites tels que le mildiou et le gel. Ce type de plantation atteste de l’ancienneté de cette parcelle, les plus récentes en plaine, avec des cépages de moindre qualité, ayant plutôt opté pour un espacement de 5 mètres et la pousse sur fil de fer. |
Le faible écartement entre les rangées explique le recours à la main d’œuvre humaine et à la traction animale. L’entretien des vignes suit le calendrier classique, avec la particularité de l’utilisation de fumure l’hiver. La vendange proprement dite se fait à la main plutôt par les femmes, les hommes se destinant au travail très physique du transport des lourdes hottes et du geste spécifique du versement, ou au contrôle expert de la quantité (on tasse les cuves). Les chevaux attelés qui emmènent les cuves en bois signalent l’aisance de l’exploitation. | Le faible écartement entre les rangées explique le recours à la main d’œuvre humaine et à la traction animale. L’entretien des vignes suit le calendrier classique, avec la particularité de l’utilisation de fumure l’hiver. La vendange proprement dite se fait à la main plutôt par les femmes, les hommes se destinant au travail très physique du transport des lourdes hottes et du geste spécifique du versement, ou au contrôle expert de la quantité (on tasse les cuves). Les chevaux attelés qui emmènent les cuves en bois signalent l’aisance de l’exploitation. | ||
+ | [[Fichier:Hugel vendangeursannees1930 1926.jpg|vignette|Vendangeurs Hugel en 1930 © Famille Hugel]] | ||
+ | '''Sociabilité dans les vignes''' | ||
− | ''' | + | La banalité de la scène se déroulant au cœur de l’automne n’est qu’apparente. La présence du propriétaire sur les parcelles n’est ni systématique, ni continue. Or il arrive avec sa caméra, un accessoire en contraste total avec le caractère traditionnel de l’activité viticole. C’est ce qui justifie aussi la ribambelle de jeunes enfants et leurs jeux, leurs exclamations. Généralement situées début octobre en Alsace, les vendanges représentent en effet un épisode singulier pour la communauté des ouvriers, qui sait si l’année va être bonne et qui fête la fin d’un cycle. La production, elle, ressort du travail du vigneron dans sa cave installée au milieu de Riquewihr depuis 1902. |
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+ | La dernière séquence saisit la vingtaine d’employés agricoles de la maison Hugel lors de la pause du déjeuner. En 1949, celle-ci comptait outre quatre employés de bureau, six à huit hommes à la vinification, et, comme en 1929, 12 hommes et 10 femmes dans les vignes. Un double panoramique fixe le groupe assis, aligné le dos aux ceps. Les quelques hommes et les nombreuses femmes boivent (peut-être) du vin dans des gobelets ou à même un tonnelet appelé loyala. Ils mangent un repas fruste composé surtout d’une miche de pain, peut-être accompagnée d’un morceau de fromage et de raisin, fournis comme c'est l'usage par le propriétaire qui assure également le logement et offre un salaire aux bras de l'exploitation. L’Alsace demeure encore dans une ruralité dense et peu enrichie où les différences de classe persistent, mais où les vendanges permettent le rapprochement des sexes dans le labeur et une certaine égalité. | ||
+ | |Contexte_et_analyse_de=<big>'''Weinlese bei Hugel'''</big> | ||
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+ | Der Weinbau im Elsass ist seit der Römerzeit belegt. Dieser Anbau hat seinen ersten Höhepunkt im Mittelalter erreicht, als er, wie seine Nachbarn in der Region Champagne, seine Schlüsselposition am Knotenpunkt wichtiger Verkehrswege nutzte. Lange Zeit produzierten die Winzer hauptsächlich in großen Mengen, auch wenn sich allmählich eine Karte der Terroirs abgezeichnet hat, in denen sich der Wein am besten entfaltet. Am Oberrhein bieten die Vogesenausläufer und das Rheintal ein ideales Terrain für die Entwicklung der Eigenerzeugung. Ein Beispiel dafür ist die Familie Hugel, die seit 1639 im mittelalterlichen Dorf Riquewihr ansässig ist. Dieses Dorf war nach dem Verbot der Verwendung von nicht edlen Rebsorten im Jahr 1575 zu einer Hochburg für elsässische Weine geworden. | ||
+ | Im 19. Jahrhundert erlebte das elsässische Weinbaugebiet einen langsamen Verfall seiner Mengen und seiner Qualität. Die Annexion der Region durch das Kaiserreich Wilhelms II. 1870 hat die Handelsbeziehungen zu Frankreich größtenteils abgeschnitten. Die Region war zwar zunächst der größte Produzent des Reiches, aber ihre Produktion erfuhr keinerlei Wertschätzung (sie wurde zum Verschneiden anderer Weine verwendet) und die Einfuhr von französischen, spanischen oder italienischen Weinen reduzierte ihren Anteil. Nach 1919 musste der elsässische Wein seinen Platz auf dem französischen, stark wettbewerbsgeprägten Markt zurückerobern, gegenüber weitaus besser organisierten und bekannten Regionen. Diese Rückeroberung erfolgte durch ein Streben nach Qualität, mit der Pflanzung ausgewählter Rebsorten, vor allem Pinot (Pinot noir und Pinot gris), Riesling und Gewürztraminer. Die von X Hugel, dem Besitzer, auf einem XX mm-Film gefilmte Weinlese war wie der Jahrgang 1928 ein ausgezeichneter Jahrgang, der eine ehrgeizige Vermarktungspolitik ermöglichte. | ||
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+ | '''Eine manuelle Weinlese''' | ||
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+ | Die Rebe hat ein besonderes Profil, das typisch für die elsässische Landschaft der damaligen Zeit ist. Es handelt sich um die so genannte „Quenouille“-Rebenerziehung (Art. 1922 Persée André Lucius), bei der die Reben in mehr als zwei Metern Höhe vom Boden aufgebunden werden, um ihnen die morgendliche Feuchtigkeit zu vermeiden, die besonders förderlich für die Entwicklung von Parasiten wie Mehltau und von Frost ist. Diese Art der Pflanzung zeugt vom Alter dieser Parzelle, denn die jüngsten in der Ebene, mit minderwertigen Rebsorten, haben sich für einen Abstand von 5 Metern und das Aufbinden an einem Drahtseil entschieden. | ||
+ | Der enge Abstand zwischen den Reihen erklärt die Handlese und den Einsatz von Zugtieren. Die Pflege der Weinberge folgt dem klassischen Kalender, das Besondere ist die Düngung im Winter. Die eigentliche Lese wird von Hand, hauptsächlich von Frauen durchgeführt. Die Männer übernehmen den körperlich sehr anstrengenden Transport der schweren Körbe und das Schütten in den Tank oder die fachkundige Kontrolle der Menge (die Trauben werden in den Tanks eingestampft). Die Pferdegespanne, mit denen die Holztanks transportiert werden, zeugen vom Wohlstand des Winzers. | ||
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+ | '''Geselligkeit in den Weinbergen''' | ||
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+ | Die Szene, die sich mitten im Herbst abspielt, ist nur scheinbar banal. Der Eigentümer ist weder systematisch noch ständig in den Parzellen anwesend. Hier kommt er jedoch mit seiner X Kamera, ein Gegenstand, der im vollkommenen Gegensatz zum traditionellen Charakter des Weinbaus steht. Das ist auch der Grund für die Schar der kleinen Kinder und ihre Spiele, ihre Schreie. Die Weinlese ist ein besonderer Moment für die Gemeinschaft der Arbeiter, die wissen, dass das Jahr gut sein wird und die das Ende eines Zyklus feiern. Die Produktion hingegen geht aus der Arbeit des Winzers in seinem seit 1902 mitten in Riquewihr installierten Keller hervor. | ||
+ | Die letzte Sequenz zeigt die rund zwanzig Landarbeiter des Hauses Hugel bei der Mittagspause. 1949 waren neben vier Büroangestellten sechs bis acht Männer in der Weinbereitung und wie 1929 zwölf Männer und zehn Frauen in den Weinbergen beschäftigt. Eine doppelte Panoramaaufnahme fixiert die sitzende Gruppe, mit dem Rücken zu den Weinreben (Tricart Persée). Die wenigen Männer und vielen Frauen trinken (vielleicht) Wein aus Bechern oder sogar aus einem Fass. Sie essen eine spärliche Mahlzeit, die hauptsächlich aus einem Laib Brot, vielleicht mit einem Stück Käse, besteht. Das Elsass ist am Land noch dicht besiedelt, hat sich kaum bereichert, die Klassenunterschiede sind noch vorhanden. | ||
+ | |Bibliographie=Isabelle Bianquis, ''Alsace, de l'homme au vin'', Gérard Klopp, Thionville, 1988. | ||
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+ | André Lucius, "Le vignoble alsacien", ''Annales de géographie'', 1922, n°171, p. 205-214. | ||
− | + | Jean Tricard, "Le vignoble alsacien", ''L'Information Géographique'', 1949, vol. 13, n°1, p. 21-27. | |
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Version actuelle datée du 19 mars 2019 à 16:23
Résumé
Description
Deux hommes mettent une cuve en bois pleine de raisins sur une charrette
Un homme porte une hotte en bois marche vers la charrette : il y vide sa hotte
Un homme touille avec un bâton
Foule de gens dans les vignes
Deux chevaux tirent la charrette remplie de cuves à raisins
Plans des vignes où les vendangeurs s'activent
Les hommes sont assis dans les vignes et mangent, ainsi que de nombreuses femmes
Contexte et analyse
La présence du vignoble est attestée en Alsace depuis l’Antiquité romaine. Cette culture a connu un premier pic au Moyen Age, profitant comme les voisins de Champagne d’une position clef au carrefour d’importants axes de communication. Les viticulteurs ont longtemps produit surtout en quantité, même si s’est peu à peu dessinée une carte tributaire des terroirs sur lesquels s’épanouit la vigne. Dans le Haut-Rhin, les collines sous-vosgiennes et la vallée du Rhin offrent un terrain idéal qui favorise l’émergence de propriétaires-récoltants-vignerons. C’est le cas de la famille Hugel, installée depuis 1639 dans le village médiéval de Riquewihr, devenu l’un des centres d’excellence du vin d’Alsace suite à l’interdiction en 1575 d’utiliser des plants non nobles.
Au XIXe siècle, le vignoble alsacien connaît un lent déclin en quantité et en qualité. L’annexion de la région par le Reich de Guillaume II en 1870 a coupé en bonne partie les liens commerciaux avec la France. Si au départ la région est le plus grand producteur du Reich, sa production n’est pas valorisée (on l’utilise pour couper d’autres vins) et l’importation de vins français, espagnols ou italiens fait reculer sa part. Après 1919, le vin d’Alsace a dû reconquérir sa place sur le marché national, très concurrentiel avec des régions bien mieux organisées et connues. Il s’opère par une quête de qualité avec le replantage de cépages sélectionnés, pour l’essentiel du pinot (noir et gris), du riesling et du gewurztraminer. La vendange filmée par Alfred Hugel, le propriétaire, a été comme celle de 1928 un excellent millésime qui a permis une politique de commercialisation ambitieuse.
Une vendange manuelle
La vigne présente un profil particulier typique du paysage alsacien de l’époque. La culture dite en quenouille qui lance les ceps à plus de deux mètres du sol afin de leur éviter les brumes matinales particulièrement favorables au développement des parasites tels que le mildiou et le gel. Ce type de plantation atteste de l’ancienneté de cette parcelle, les plus récentes en plaine, avec des cépages de moindre qualité, ayant plutôt opté pour un espacement de 5 mètres et la pousse sur fil de fer.
Le faible écartement entre les rangées explique le recours à la main d’œuvre humaine et à la traction animale. L’entretien des vignes suit le calendrier classique, avec la particularité de l’utilisation de fumure l’hiver. La vendange proprement dite se fait à la main plutôt par les femmes, les hommes se destinant au travail très physique du transport des lourdes hottes et du geste spécifique du versement, ou au contrôle expert de la quantité (on tasse les cuves). Les chevaux attelés qui emmènent les cuves en bois signalent l’aisance de l’exploitation.
Sociabilité dans les vignes
La banalité de la scène se déroulant au cœur de l’automne n’est qu’apparente. La présence du propriétaire sur les parcelles n’est ni systématique, ni continue. Or il arrive avec sa caméra, un accessoire en contraste total avec le caractère traditionnel de l’activité viticole. C’est ce qui justifie aussi la ribambelle de jeunes enfants et leurs jeux, leurs exclamations. Généralement situées début octobre en Alsace, les vendanges représentent en effet un épisode singulier pour la communauté des ouvriers, qui sait si l’année va être bonne et qui fête la fin d’un cycle. La production, elle, ressort du travail du vigneron dans sa cave installée au milieu de Riquewihr depuis 1902.
La dernière séquence saisit la vingtaine d’employés agricoles de la maison Hugel lors de la pause du déjeuner. En 1949, celle-ci comptait outre quatre employés de bureau, six à huit hommes à la vinification, et, comme en 1929, 12 hommes et 10 femmes dans les vignes. Un double panoramique fixe le groupe assis, aligné le dos aux ceps. Les quelques hommes et les nombreuses femmes boivent (peut-être) du vin dans des gobelets ou à même un tonnelet appelé loyala. Ils mangent un repas fruste composé surtout d’une miche de pain, peut-être accompagnée d’un morceau de fromage et de raisin, fournis comme c'est l'usage par le propriétaire qui assure également le logement et offre un salaire aux bras de l'exploitation. L’Alsace demeure encore dans une ruralité dense et peu enrichie où les différences de classe persistent, mais où les vendanges permettent le rapprochement des sexes dans le labeur et une certaine égalité.Bibliographie
Isabelle Bianquis, Alsace, de l'homme au vin, Gérard Klopp, Thionville, 1988.
André Lucius, "Le vignoble alsacien", Annales de géographie, 1922, n°171, p. 205-214.
Jean Tricard, "Le vignoble alsacien", L'Information Géographique, 1949, vol. 13, n°1, p. 21-27.
Article rédigé par
ALEXANDRE SUMPF, 13 décembre 2018
- ↑ En tant que partie d'une production amateur, cette séquence n'a pas reçu de titre de son réalisateur. Le titre affiché sur cette fiche a été librement forgé par son auteur dans le but de refléter au mieux son contenu.