Voyage à Berlin par le train militaire français du 9 au 13 mai 1975 (0083FI0006) : Différence entre versions

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|realisateurs=Laemmel, Hippolyte Louis
 
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|evenements_filmes_ou_en_lien=Journée des forces alliées Berlin 10 mai 1975
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|Resume_fr=En mai 1975, Hippolyte Laemmel part en voyage avec une délégation française à Berlin. Il décide de filmer son voyage.
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|Description_fr=Le film débute par un carton où l’on peut lire : « Voyage à Berlin du 9 au 14 mai 1975 ». Le plan suivant nous présente une plaque où l’on peut lire : « train militaire français de Berlin, Berlin-Tegel Strasbourg et retour ». Le caméraman filme le voyage dans le train, il nous présente le couloir du train. Il filme également à travers la fenêtre, le rideau de fer. Il nous montre les défenses antichars. Le Plan suivant dévoile le visage des personnes qui l’accompagnent dans le train, avant qu’il filme à nouveau le paysage par la fenêtre. L’arrivée à la gare est filmée et l’on peut voir de nombreuses voitures stationnées. Le plan suivant se passe sur le quai de la gare. Il est 9h45. La gare française Berlin-Tegel nous est montrée avant que le caméraman décide de réduire le zoom et nous laisse voir les voitures garées devant la gare. Il nous montre ensuite une plaque pour nous montrer les évènements qu’il va filmer sur laquelle il est écrit : « Journée des forces alliées Berlin 10 mai ».Nous pouvons voir qu’il y a du monde qui vient observer le défilé. Le défilé s’ouvre par une fanfare, puis par des soldats habillés avec une ceinture rouge. Il vient ensuite une seconde fanfare avec des tambours bleu blanc et rouge. Il s’en suit une présentation des drapeaux des trois occupants de l’ouest de l’Allemagne : La France, L’Angleterre et les États-Unis. Il y a ensuite un changement de plan où nous apercevons une voiture civile avec sur le capot un fanion tricolore, une DS 23, voiture officielle de l’état français, suivi d’une voiture avec le drapeau anglais et pour finir une voiture avec le drapeau américain entouré de jeeps militaires.
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Changement de plan. Trois hommes, qu’on suppose être les trois généraux responsables de chaque zone s’avancent. Ils passent en revue les troupes. Après eux, ce sont les porte-drapeaux français, anglais et américains qui passent devant les soldats et les spectateurs.
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Changement de plan, le défilé militaire continue où on peut voir une fanfare où tous les soldats sont habillés en noir. Il vient ensuite un défilé de militaires américains avec leurs armes. Il y a ensuite un nouveau plan, où l’on voit une fanfare défiler devant les spectateurs. Les membres de la fanfare sont habillés en noir avec des épaulettes jaunes et un béret rouge. Ils sont suivis de militaires armés portant un uniforme brun et un béret rouge. Au centre de ce régiment se trouve le porte-drapeau britannique, avec le drapeau anglais. Un nouveau changement de plan qui laisse place à une nouvelle fanfare, devancée par une majorette maniant un bâton métallique. Le costume de cette fanfare est : un habit vert, des épaulettes rouges, et un béret noir. Ils sont suivis de militaires armés habillés d’une veste et d’un pantalon vert, d’une chemise jaune, d’une ceinture, de bottes blanches et d’un béret noir. Au centre de ce régiment se trouve le porte-drapeau français. Enfin, c’est au tour de la fanfare américaine, et à leur suite, les soldats américains, habillés tout en gris, avec des boutons dorés, un casque, des gants blancs et des chaussures noires.
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Il y a ensuite une nouvelle image, qui nous montre un plan de Berlin. On peut apercevoir au centre une ligne rouge : le mur de Berlin. À la suite du plan, un carton apparait montrant qu’il s’agit de « Berlin-Ouest », suivi de « Le Mur ». Hippolyte Laemmel montre une rue on peut distinguer au loin le mur avec le drapeau de la République démocratique allemande (RDA). Le plan se rapproche sur le mirador du mur avec deux hommes en train de surveiller. L’homme de gauche a des jumelles. Il regarde le caméraman. Le plan suivant nous montre que Hippolyte Laemmel s’est rapproché du mur et qu’il est devant un portail ouvert. La caméra zoome ensuite vers le mirador. Sous le mirador, il y a un homme qui regarde avec des jumelles à travers une petite fenêtre.
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Une rue nous est montrée avec des bâtiments délabrés et détruits, mais de beaux arbres sont plantés juste devant. Un nouveau plan nous offre une nouvelle vision de cette rue, ils filment un pan du mur, ou l’ont peu lire : « Die Mauer muss fallen ! » ( le mur doit tomber). Le plan suivant est pris en hauteur par Hippolyte Laemmel qui a du grimper sur le mur, afin d’avoir une vue à l’intérieur du mur, il zoome à l’intérieur, et nous pouvons voir des défenses anti char à l’intérieur du mur sur toute sa longueur.
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Sur un nouveau plan, nous pouvons distinguer des défenses anti char plus précisément. Il prend également en vidéo une église rouge derrière le mur. Une seconde du plan montre l’arrière d’un bus rempli d’hommes. Le plan suivant en contre-plongée depuis la fenêtre d’un immeuble montre l’intérieur du mur où l’on peut voir à nouveau les défenses anti char. À l’arrière-plan nous pouvons voir une grande route. Sur la façade d’un immeuble, on peut apercevoir un drapeau de la RDA.
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Le Plan suivant montre l’intérieur du mur du côté de Berlin-Est. On y distingue une route et des voitures qu’on devine être des trabants. Le plan suivant s’arrête sur panneau délimitant la fin du secteur français. Il filme ensuite une tour d’observation qui permet de voir par-dessus le mur. Cette tour est remplie de personnes qui cherchent à voir de l’autre coté du mur. Différentes personnes circulent sur la tour. On peut lire sur le mur devant la tour : « …Weg ! KZ » (chemin ! camp de concentration). Hippolyte Laemmel fait un gros plan sur un homme qui se rapproche. Il filme ensuite les escaliers de la tour d’observation. Dans l’escalier se trouve un homme habillé en costume militaire. Il filme ensuite un bâtiment devant lequel on peut apercevoir une fontaine avec des jeux d’eau. Nous avons ensuite un nouveau point de vue de ce bâtiment depuis un parc. 
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Hippolyte Laemmel nous montre ensuite le palais du Reichstag. Il filme ensuite la Fernsehturm. Il revient ensuite au palais du Reichstag sur lequel il zoome et sur lequel on peut lire : « dem deutschen Volke ». Il dévoile ensuite la porte du Brandebourg, ainsi qu’un monument aux morts : le mémorial soviétique de Tiergarten. Il expose ensuite de nouveau la porte de Brandebourg ou l’on peut voir un panneau sur lequel il est écrit : « Achtung ! Sie verlassen jetzt West-Berlin. »
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Nouveau plan, nous sommes de nouveau au mémorial soviétique de Tiergarten. Il zoome afin  de montrer deux soldats postés sur le monument. L’auteur filme ensuite le stade olympique de 1936. Il présente l’intérieur, les gradins, la pelouse du stade.
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Nouveau plan, ils sont à la piscine. Un homme en train de sauter au plongeoir est filmé. Hippolyte Laemmel filme ensuite la route de Berlin, où l’on peut voir de nombreuses voitures. Il filme ensuite l’église du souvenir.
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Nouveau plan, nous pouvons voir un immeuble. Il fait voir une entrée du métro de Berlin. L’auteur filme ensuite une grande route, ou l’on peut voir de nombreuses voitures, ainsi qu’un centre commercial en arrière-plan. Hippolyte Laemmel filme depuis l’aéroport la route qui mène à l’aéroport. Il filme ensuite le tarmac, l’aéroport, ainsi que la tour aérienne vue de l’extérieur. Sur le tarmac de nombreuses personnes sont présentes. Il filme ensuite l’arrière d’un bus. L’auteur filme depuis la tour aérienne, l’aéroport de Berlin-Tegel. Il filme le tarmac de l’aéroport depuis son poste, il filme également les pistes de décollage. Il filme également l’intérieur de la tour de contrôle. On peut voir énormément de machines-personne. Il filme également Berlin depuis son poste privilégié.
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Un nouveau carton apparaît sur lequel on peut lire : « Berlin-Est», Hippolyte Laemmel filme ensuite l’université de Humboldt. On peut voir sur le parking devant l’université que toutes les places sont prises par les trabants. Il la filme sous plusieurs angles. Il nous montre ensuite l’opéra de Berlin-Est où l’on peut lire : « Deutsche Staatsoper » aujourd’hui renommé : Staatsoper Unter den Linden. Il présente ensuite le Mémorial Soviétique de Treptower Park. Il filme ensuite des personnes sur un pont. Il montre ensuite la Alte Kommandantur, et nous pouvons distinguer sur le même plan la Cathédrale Sainte-Hedwidge de Berlin. Hippolyte Laemmel nous expose la porte de Brandebourg vue du côté est. Sur le plan suivant il filme et zoome de nouveau sur la Fernsehturm. Il nous emmène ensuite avec lui, dans son bus, lors de son retour en passant un poste-frontière pour revenir à Berlin-Ouest. Il passe par le point de passage de Chausseestraße. Un garde-frontière vérifie leurs papiers.
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Le plan suivant nous montre un panneau-stop, et une enseigne avec Napoléon sur son cheval.  L’image suivante nous montre une plaque sur laquelle on peut lire : « Quartier Napoléon, l’empereur Napoléon 1er est entré à Berlin le 27 octobre 1806 après la victoire à Iena ».
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Le plan suivant est composé d’une route, de bâtiments et du drapeau français. Ensuite nous pouvons lire : « logement de passage MOSKOVA ».
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Les secondes suivantes nous montrent la bâtisse. Il y a une piscine. Hippolyte Laemmel nous montre ensuite une route, puis 5 hommes qui discutent ensemble.
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Un nouveau carton apparaît sur lequel on peut lire : « Le pot du départ ». Il filme les participants au pot, certains portent des habits militaires, d’autres sont en costume. Il montre ensuite la table du buffet ainsi qu’une serveuse qui semble préparer les serviettes pour le repas. Nous pouvons ensuite retrouver cette assemblée composée essentiellement d’hommes. Il nous emmène ensuite de nouveau avec lui dans un bus et filme une plaque sur laquelle on peut lire : «  PAVILLON DU LAC, le pavillon du lac est un cercle français qui n’est pas ouvert au public. Il est réservé exclusivement aux membres des forces françaises et alliés, des missions et consulats accrédités et à leurs invités. » Hippolyte Laemmel filme ensuite le lac sous différents plans ainsi que son port. Il filme ensuite des hommes attablés. Le plan se termine par une vue sur un canard.
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Hippolyte Laemmel filme également le départ, nous pouvons voir le quai de la gare et le train qui va partir. Il filme également quand le train commence son départ. Il filme par la fenêtre le train, ainsi que ses voisins de fenêtres. Il re filme le mur de Berlin, ainsi que Berlin qui s’éloigne. Il filme ensuite un monument avec un dôme qui se situe devant un fleuve. Il filme ensuite son départ où plusieurs plans se succèdent montrant  les voies ferrées, et le paysage allemand.  Il filme également lorsqu’il passe la frontière sur le Rhin. Pour finir,  Hippolyte Laemmel filme son arrivée à Strasbourg, on peut voir au loin la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg. Il filme son arrivée à la gare de Strasbourg. Un carton "Fin" clôture le film.
 
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Version du 6 janvier 2020 à 16:57


 Avertissement[1]

Événements filmés ou en lien


Journée des forces alliées Berlin 10 mai 1975

Résumé


En mai 1975, Hippolyte Laemmel part en voyage avec une délégation française à Berlin. Il décide de filmer son voyage.

Description


Le film débute par un carton où l’on peut lire : « Voyage à Berlin du 9 au 14 mai 1975 ». Le plan suivant nous présente une plaque où l’on peut lire : « train militaire français de Berlin, Berlin-Tegel Strasbourg et retour ». Le caméraman filme le voyage dans le train, il nous présente le couloir du train. Il filme également à travers la fenêtre, le rideau de fer. Il nous montre les défenses antichars. Le Plan suivant dévoile le visage des personnes qui l’accompagnent dans le train, avant qu’il filme à nouveau le paysage par la fenêtre. L’arrivée à la gare est filmée et l’on peut voir de nombreuses voitures stationnées. Le plan suivant se passe sur le quai de la gare. Il est 9h45. La gare française Berlin-Tegel nous est montrée avant que le caméraman décide de réduire le zoom et nous laisse voir les voitures garées devant la gare. Il nous montre ensuite une plaque pour nous montrer les évènements qu’il va filmer sur laquelle il est écrit : « Journée des forces alliées Berlin 10 mai ».Nous pouvons voir qu’il y a du monde qui vient observer le défilé. Le défilé s’ouvre par une fanfare, puis par des soldats habillés avec une ceinture rouge. Il vient ensuite une seconde fanfare avec des tambours bleu blanc et rouge. Il s’en suit une présentation des drapeaux des trois occupants de l’ouest de l’Allemagne : La France, L’Angleterre et les États-Unis. Il y a ensuite un changement de plan où nous apercevons une voiture civile avec sur le capot un fanion tricolore, une DS 23, voiture officielle de l’état français, suivi d’une voiture avec le drapeau anglais et pour finir une voiture avec le drapeau américain entouré de jeeps militaires.

Changement de plan. Trois hommes, qu’on suppose être les trois généraux responsables de chaque zone s’avancent. Ils passent en revue les troupes. Après eux, ce sont les porte-drapeaux français, anglais et américains qui passent devant les soldats et les spectateurs.

Changement de plan, le défilé militaire continue où on peut voir une fanfare où tous les soldats sont habillés en noir. Il vient ensuite un défilé de militaires américains avec leurs armes. Il y a ensuite un nouveau plan, où l’on voit une fanfare défiler devant les spectateurs. Les membres de la fanfare sont habillés en noir avec des épaulettes jaunes et un béret rouge. Ils sont suivis de militaires armés portant un uniforme brun et un béret rouge. Au centre de ce régiment se trouve le porte-drapeau britannique, avec le drapeau anglais. Un nouveau changement de plan qui laisse place à une nouvelle fanfare, devancée par une majorette maniant un bâton métallique. Le costume de cette fanfare est : un habit vert, des épaulettes rouges, et un béret noir. Ils sont suivis de militaires armés habillés d’une veste et d’un pantalon vert, d’une chemise jaune, d’une ceinture, de bottes blanches et d’un béret noir. Au centre de ce régiment se trouve le porte-drapeau français. Enfin, c’est au tour de la fanfare américaine, et à leur suite, les soldats américains, habillés tout en gris, avec des boutons dorés, un casque, des gants blancs et des chaussures noires.

Il y a ensuite une nouvelle image, qui nous montre un plan de Berlin. On peut apercevoir au centre une ligne rouge : le mur de Berlin. À la suite du plan, un carton apparait montrant qu’il s’agit de « Berlin-Ouest », suivi de « Le Mur ». Hippolyte Laemmel montre une rue on peut distinguer au loin le mur avec le drapeau de la République démocratique allemande (RDA). Le plan se rapproche sur le mirador du mur avec deux hommes en train de surveiller. L’homme de gauche a des jumelles. Il regarde le caméraman. Le plan suivant nous montre que Hippolyte Laemmel s’est rapproché du mur et qu’il est devant un portail ouvert. La caméra zoome ensuite vers le mirador. Sous le mirador, il y a un homme qui regarde avec des jumelles à travers une petite fenêtre.

Une rue nous est montrée avec des bâtiments délabrés et détruits, mais de beaux arbres sont plantés juste devant. Un nouveau plan nous offre une nouvelle vision de cette rue, ils filment un pan du mur, ou l’ont peu lire : « Die Mauer muss fallen ! » ( le mur doit tomber). Le plan suivant est pris en hauteur par Hippolyte Laemmel qui a du grimper sur le mur, afin d’avoir une vue à l’intérieur du mur, il zoome à l’intérieur, et nous pouvons voir des défenses anti char à l’intérieur du mur sur toute sa longueur.

Sur un nouveau plan, nous pouvons distinguer des défenses anti char plus précisément. Il prend également en vidéo une église rouge derrière le mur. Une seconde du plan montre l’arrière d’un bus rempli d’hommes. Le plan suivant en contre-plongée depuis la fenêtre d’un immeuble montre l’intérieur du mur où l’on peut voir à nouveau les défenses anti char. À l’arrière-plan nous pouvons voir une grande route. Sur la façade d’un immeuble, on peut apercevoir un drapeau de la RDA.

Le Plan suivant montre l’intérieur du mur du côté de Berlin-Est. On y distingue une route et des voitures qu’on devine être des trabants. Le plan suivant s’arrête sur panneau délimitant la fin du secteur français. Il filme ensuite une tour d’observation qui permet de voir par-dessus le mur. Cette tour est remplie de personnes qui cherchent à voir de l’autre coté du mur. Différentes personnes circulent sur la tour. On peut lire sur le mur devant la tour : « …Weg ! KZ » (chemin ! camp de concentration). Hippolyte Laemmel fait un gros plan sur un homme qui se rapproche. Il filme ensuite les escaliers de la tour d’observation. Dans l’escalier se trouve un homme habillé en costume militaire. Il filme ensuite un bâtiment devant lequel on peut apercevoir une fontaine avec des jeux d’eau. Nous avons ensuite un nouveau point de vue de ce bâtiment depuis un parc. Hippolyte Laemmel nous montre ensuite le palais du Reichstag. Il filme ensuite la Fernsehturm. Il revient ensuite au palais du Reichstag sur lequel il zoome et sur lequel on peut lire : « dem deutschen Volke ». Il dévoile ensuite la porte du Brandebourg, ainsi qu’un monument aux morts : le mémorial soviétique de Tiergarten. Il expose ensuite de nouveau la porte de Brandebourg ou l’on peut voir un panneau sur lequel il est écrit : « Achtung ! Sie verlassen jetzt West-Berlin. » Nouveau plan, nous sommes de nouveau au mémorial soviétique de Tiergarten. Il zoome afin de montrer deux soldats postés sur le monument. L’auteur filme ensuite le stade olympique de 1936. Il présente l’intérieur, les gradins, la pelouse du stade. Nouveau plan, ils sont à la piscine. Un homme en train de sauter au plongeoir est filmé. Hippolyte Laemmel filme ensuite la route de Berlin, où l’on peut voir de nombreuses voitures. Il filme ensuite l’église du souvenir.

Nouveau plan, nous pouvons voir un immeuble. Il fait voir une entrée du métro de Berlin. L’auteur filme ensuite une grande route, ou l’on peut voir de nombreuses voitures, ainsi qu’un centre commercial en arrière-plan. Hippolyte Laemmel filme depuis l’aéroport la route qui mène à l’aéroport. Il filme ensuite le tarmac, l’aéroport, ainsi que la tour aérienne vue de l’extérieur. Sur le tarmac de nombreuses personnes sont présentes. Il filme ensuite l’arrière d’un bus. L’auteur filme depuis la tour aérienne, l’aéroport de Berlin-Tegel. Il filme le tarmac de l’aéroport depuis son poste, il filme également les pistes de décollage. Il filme également l’intérieur de la tour de contrôle. On peut voir énormément de machines-personne. Il filme également Berlin depuis son poste privilégié.

Un nouveau carton apparaît sur lequel on peut lire : « Berlin-Est», Hippolyte Laemmel filme ensuite l’université de Humboldt. On peut voir sur le parking devant l’université que toutes les places sont prises par les trabants. Il la filme sous plusieurs angles. Il nous montre ensuite l’opéra de Berlin-Est où l’on peut lire : « Deutsche Staatsoper » aujourd’hui renommé : Staatsoper Unter den Linden. Il présente ensuite le Mémorial Soviétique de Treptower Park. Il filme ensuite des personnes sur un pont. Il montre ensuite la Alte Kommandantur, et nous pouvons distinguer sur le même plan la Cathédrale Sainte-Hedwidge de Berlin. Hippolyte Laemmel nous expose la porte de Brandebourg vue du côté est. Sur le plan suivant il filme et zoome de nouveau sur la Fernsehturm. Il nous emmène ensuite avec lui, dans son bus, lors de son retour en passant un poste-frontière pour revenir à Berlin-Ouest. Il passe par le point de passage de Chausseestraße. Un garde-frontière vérifie leurs papiers. Le plan suivant nous montre un panneau-stop, et une enseigne avec Napoléon sur son cheval. L’image suivante nous montre une plaque sur laquelle on peut lire : « Quartier Napoléon, l’empereur Napoléon 1er est entré à Berlin le 27 octobre 1806 après la victoire à Iena ». Le plan suivant est composé d’une route, de bâtiments et du drapeau français. Ensuite nous pouvons lire : « logement de passage MOSKOVA ». Les secondes suivantes nous montrent la bâtisse. Il y a une piscine. Hippolyte Laemmel nous montre ensuite une route, puis 5 hommes qui discutent ensemble. Un nouveau carton apparaît sur lequel on peut lire : « Le pot du départ ». Il filme les participants au pot, certains portent des habits militaires, d’autres sont en costume. Il montre ensuite la table du buffet ainsi qu’une serveuse qui semble préparer les serviettes pour le repas. Nous pouvons ensuite retrouver cette assemblée composée essentiellement d’hommes. Il nous emmène ensuite de nouveau avec lui dans un bus et filme une plaque sur laquelle on peut lire : «  PAVILLON DU LAC, le pavillon du lac est un cercle français qui n’est pas ouvert au public. Il est réservé exclusivement aux membres des forces françaises et alliés, des missions et consulats accrédités et à leurs invités. » Hippolyte Laemmel filme ensuite le lac sous différents plans ainsi que son port. Il filme ensuite des hommes attablés. Le plan se termine par une vue sur un canard. Hippolyte Laemmel filme également le départ, nous pouvons voir le quai de la gare et le train qui va partir. Il filme également quand le train commence son départ. Il filme par la fenêtre le train, ainsi que ses voisins de fenêtres. Il re filme le mur de Berlin, ainsi que Berlin qui s’éloigne. Il filme ensuite un monument avec un dôme qui se situe devant un fleuve. Il filme ensuite son départ où plusieurs plans se succèdent montrant les voies ferrées, et le paysage allemand. Il filme également lorsqu’il passe la frontière sur le Rhin. Pour finir, Hippolyte Laemmel filme son arrivée à Strasbourg, on peut voir au loin la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg. Il filme son arrivée à la gare de Strasbourg. Un carton "Fin" clôture le film.

Métadonnées

N° support :  0083FI0006
Date :  mai 1975
Coloration :  Couleur
Son :  Muet
Durée :  00:00:00
Cinéastes :  Laemmel, Hippolyte Louis
Format original :  Super 8 mm
Genre :  Film amateur
Thématiques :  Tourisme transfrontalier
Institution d'origine :  MIRA

Lieux ou monuments


berlin; Strasse des 17 Juni; Fernsehturm; Reichstag; Porte de Brandebourg,; l’église du Souvenir; aéroport de Tegel; Gare de Tegel; Quartier Napoléon



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