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|Resume_fr=Les films mises à notre disposition sont des scènes réalisées en milieu rural avec des séquences biens prises. Les films mettent en exergue le quotidien, le déroulement de la vie rurale. Les films sont déterminés par la présence de deux éléments indissociables : l’agriculture et l’élevage domestique. Ainsi, les travaux champêtres y tiennent une place importante dans la mesure où, on note une intense activité champêtre avec la présence de charrues de bœufs prêtent à aider dans les tâches agricoles. Il y a aussi la présence d’une coupure massive de bois pour approvisionner le foyer (un signe de déforestation non négligeable). Le cours de la ferme se partage avec les chèvres, les chiens, et les volailles. Le plus important dans cette vie en milieu rural est marqué par les signes d’une vie en parfaite harmonie et une belle familiarité avec la terre et les animaux. En plus, le bonheur et la convivialité rythmèrent les modes vie. L’épanouissement est aussi un élément clés qui détermine la joie de vivre. Par exemple l’organisation d’une petite fête.
 
|Contexte_et_analyse_fr='''LA VIE RURALE'''
 
 
Pendant des décennies, l’intensification des travaux champêtres et la domestication constituent la veine nourricière de l’évolution de vie. En effet, c’est le lieu par excellence de l’existence de la vie conviviale. Elle est menée par des familles modestes dont la seule préoccupation est le travail, hormis les quelques jours de repos. Le travail était l’outil de valeur même les plus jeunes se font confier diverses tâches qui au fur et à mesure deviennent un outil ancré dans leur mode de vie. Généralement, ils nourrissent les poules, les cochons, aident à fendre du bois, puiser l’eau, aident aux champs ou à traire les vaches. Ainsi, cette familiarité avec le travail (agriculture et l’élevage) à côté de l’école est la force vive dans chaque famille pour préparer l’avenir d’une petite fille ou d’un petit garçon à faire face à son propre destin. Par ailleurs, la domestication était une chose qui se fessait selon les croyances mûries à l’égard de l’animale. Par exemple le coq était très présent puis qu’il s’agit pour certain d’un animal de la basse-cour et qui peut symboliser l’humeur combattante ou encore le symbolisme chrétien, le repentir de Saint Pierre après son triple reniement. Il en est de même des fleurs qui mise à part leur côté esthétique et ornementale certains en voient une valeur symbolique.  Par exemple la tulipe à trois pétales plantés souvent dans une vase avec les formes du cœur représentent la trinité divine, d’autres étaient destinées à l’Église pour les jours de messe.
 
 
Toutefois, la vie rurale n’était possible que grâce au cordon ombilicale de toute société. Les femmes avaient une très grande part de responsabilité sur le devenir familial, elles ne sont pas seulement bonnes aux travaux ménagères mais s’occupent à la fois de l’éducation et des soins des enfants. Elles participent activement à l’exploitation agricole qu’il soit de traire les vaches, de participer à la récolte, d’entretenir le jardin potager, de transformer les produits etc. elles sont par excellence très présentes. Elles consacrent leurs soirées à broyer le chanvre à filer le lin avec la rouette pour en faire des écheveaux. Les femmes avaient des activités très limités qui tournaient souvent autour de la religion, ou les moments forts de la grande lessive. Pendant que les hommes se réunissent autour d’une table pour jouer aux cartes et boire du Schnaps. 
 
 
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, les ruraux subvenaient aux besoins quotidiens en produisant le nécessaire pour compléter leur vie tels que la nourriture, le chauffage, l’habillent (parfois confié à l’artisan du fait de l’existence déjà des différents corps de métier). La nourriture provenait exclusivement des récoltes, cultivés généralement dans les champs où les jardins. La viande quant à elle se mangeait régulièrement hormis le porc tué une fois par an et que chaque famille élevé dans son soue à cochon, y’avait la viande du coq, un morceau de bœuf, du gibier, ou un lapin ramené des champs. Ces viandes complètent les calories manquantes. Le lait trayait chaque moment précis de la journée servait à la fabrication du beurre et du fromage. Le commerce ou le troc la plupart du temps se fessait dans les marchés, où dans les foires qui se tiennent hors du village. Les femmes comme les hommes s’y rendaient pour vendre leur surplus. En générale, on y vendait le blé, des pommes de terre, du beurre, des œufs etc. et quelques légumes frais cueillis au jardin potager.
 
 
Cependant, les travaux débutaient dans des mois précis pour terminer avec bonté et joie. Dans certaines localités le début des travaux dans les champs portés un nom spécifique : c’est le cas de Saint-Joseph.  En effet, les travaux commencèrent d’abord par les labours puis les semailles qui se firent au printemps. Au mois de mai, débuta les récoltes des plantes fourragères pour pouvoir planter des pommes de terre, des betteraves etc. Ainsi, on nettoya les champs pour enlever les mauvaises herbes. Puis s’ensuit l’étape de la fenaison, ensuite la mousson. Dès le début de l’automne, ils s’apprêtent à faire les regains, arracher les pommes de terre du sol, faire entrer les betteraves. D’octobre à novembre commence la semence des céréales pour l’hiver et le blé et les seigles à la suite des labours d’automne. La fin des travaux coïncide avec le début du mois de décembre appelé Saint-Nicolas qui constituait un repère pour la fin des travaux sous le rythme des dures journées de labeurs dans les champs. Le bois était très important durant l’hiver obligeant les familles en disposer avant Noël. C’est aussi pendant l’hiver que les communautés villageoises se mettent à l’entretien des chemins ruraux, outre de ce fait rendre plus active leurs matériaux agricoles en allant voir le forgeron. 
 
 
Par conséquent, la vie rurale a aussi connu des troubles qui ont perturbé la paix et la cohésion sociale. Elle a connu trop tôt le phénomène d’exode rurale, les jeunes hommes commencèrent à quitter la campagne pour tenter l’aventure dans les grandes villes, dans les usines etc. du moment où les jeunes filles travaillèrent dors est déjà dans les maisons des riches. Si est seulement si la ville a tant volé à la campagne son devenir, les guerres en ont fait pire avec les recrutements pendant la guerre. Quand s’annonçait la guerre les mères se retrouvaient dans la panique et la peur. La pensée était la même une fois les bras du village s’en aillent comment les femmes, les vieux et les enfants vont-ils se débrouiller pendant les moissons, il faudra battre, rentrer les grains, les pomme de terre, vendanger, faire le bois et les bêtes qui s’en occupent. Les moyens de production ne furent pas tous mécanisés souvent par manque de moyens. L’agriculture nécessita une main d’œuvre abondante de sorte qu’en période de moisson une main d’œuvre saisonnière était sollicitée pour récolter les céréales. Les moissons furent des événements importants dans la vie rurale. Des années passent et les paysans commencent petit à petit à s’acquitter de tracteurs et d’autres machines agricoles très utiles pour le travail des champs et l’élevage.
 
 
 
'''UNE EVOLUTION NOTABLE EN MILIEU RURAL'''
 
 
Dans les années 1950 1960, les campagnes sont en pleines mutations. Dans le domaine technique l’agriculture et l’élevage connaissent des avancées particulièrement importantes surtout dans les équipements. L’évolutions du monde rurale est aussi notable dans la vie quotidienne (port vestimentaires, les loisirs, les politiques etc.) Depuis longtemps, le travail agricole était pratiqué manuellement (fauchage à l’aide de faux et de faucille, ramassage de la paille…) malgré qu’on note en 1897 la batteuse à vapeur mais les moyens fessaient défaut tout le monde ne pouvant pas en posséder. Dès lors la vie à la campagne continue sur le même rythme dans la partage et la convivialité. Le début de la mécanisation s’empêche en rien la continuité des mêmes activités coupe de blé et battage sont encore dissociés, la moissonneuse coupe les épis qui sont ensuite rassemblés en gerbière pour finir de mûrir. Le battage continue toujours de s’effectuer dans la cour de la ferme. La batteuse se déplace ainsi de ferme en ferme et de village en village le travail dure un bon bout de temps et s’achève dans un bon banquet. La liberté des volailles est toujours notable ils sont dans la cours, ils sont dans les rues du quartier sans aucun souci. Les pattes des vaches rythment encore le travail, dressés pour le travail ils sont dotés d’une capacité de travail de sept (7)heures à huit (8)heures de temps par jours. Par conséquent, pour répondre aux besoins des améliorations sont faites par la diversification de leurs produits par l’implantation d’autres cultures. Ainsi, les bénéfices obtenus sont généralement investis dans l’acquisition de terre plutôt que dans la modernisation des équipements du coup la modernisation reste très faible. En effet, l’agriculture occupait la totalité de la population avec une main d’œuvre abondante, le travail très pénible est très peu productif avec de faibles revues. L’agriculture comme décrit supra était surtout sous forme de subsistance avec de petites dimensions de terre (certaines fermes avaient une surface inférieure à 20ha). Certains hectares ne permettent pas l’accumulation massive de capitaux, pouvant permettre d’investir dans l’achat de machine qui augmentera les productivités. Sur ce, l’élevage était aussi centré sur la subsistance.
 
 
Cependant, le XIXe siècle marque un tournant décisif avec les premières locomotives permettant de mécaniser l’agriculture. L’avènement de la traction motorisé qui se substitue à la tradition animale devient un point central dans la modernisation de l’agriculture. L’agriculture se dirige vers une hégémonie tout au long du siècle. Les progrès techniques facilitent ainsi les travaux à la ferme et augmentent la production et la vente de produits. L’homme a toujours conçu des instruments pour faciliter son travail agricole toutefois, dans l’entre deux guerre la productivité a considérablement augmenter des tâches antan pénibles et harassantes sont désormais résolues. Désormais, on note une avancée remarquable sur la productivité des exploitations.  De nouvelles techniques sont adoptées comme le retournement des prairies, la distribution d’aliments concentrés grâce à l’acquisition de nouveaux équipements. La plupart des exploitations disposent d’un tracteur électrique, d’un épandeur à fumer ou s’ajoute la plus importante une moissonneuse batteuse. Les machines agricoles ont permis l’obtention de meilleurs rendements, mais leurs coûts très chers poussent certains agriculteurs dans la coopération. Ainsi, il s’agit de se regrouper pour l’achat ou la location d’un tracteur et dans certain cas ils font appel au crédit par les emprunts. L’arrivée des tracteurs constitue un vrai changement au travail, la vitesse de ce dernier permet en moins de temps de labourer son champ pour un travail qui durait quatre 4 heures avec les vaches ou les chevaux. Le paysan n’eut pas besoin dès son retour à la ferme de dételer, enlever les colliers, donner à boire et à manger aux animaux. Le travail est désormais simplifié. Les semailles à la volée furent remplacées par les semoirs mécaniques, les produits insecticides, fongicides et herbicides sont devenus plus performants et permettent aux plantes de résister à certaines maladies. 
 
 
Par ailleurs, l’élevage a aussi connu de beaux progrès au niveau de l’alimentation des méthodes sont menées dans l’estimation des besoins des animaux. Des nutriments indispensables sont désormais associés à leur alimentation (vitamines, et acides aminés), l’insémination artificielle n’est pas laissée en rade. Ainsi, les préoccupations sanitaires permettent d’obtenir plus de mâles et offrent d’autres opportunités pour une amélioration génétique des animaux. Ils commencent à penser à la sélection de race pure en pratiquant la substitution de race chez les volailles et les porcs pour la création de lignée hybride. Par exemple, la vache était souvent amenée voir le taureau et le verrat et la truie. Autrefois, les poules étaient toutes éparpillés dans la cours, les fermiers commencent à songer à des endroits clôturés, où elles seront semi-libres avec des nids pour la ponte. La révolution fourragère est souvent appliquée, ils cultivent plus d’herbe pour intensifier la production de fourragère. La méthode consistait à implanter des prairies temporaires à la place des prairies naturelles, ce qui permet d’élever plus de bêtes dans la même surface. Cette pratique révolutionnaire permet aussi la diversification des herbes. Il s’agit de choisir les espèces, les semer et renouveler les prairies tous les quatre à cinq ans il n’est plus nécessaire de faire pousser et de faucher. Les semences étaient portées sur le dactyle, les légumineuses mélangées avec la luzerne équivalent à la même quantité que les fourragères. Les étables des vaches sont aussi modernisées, les machines pour la traite sont mises en place avec le pot à trayeur individuel dont le rôle est d’aspirer le lait dans un bidon, outre le pipe qui collecte le lait dans un bac. Mais la plus importance de ces avancées est marqué par la mise en disposition de salle de traite.
 
 
Cependant, les nouveaux progrès sanitaires en histologie, bactériologie et sérologie outre de ce fait, les mesures prophylactiques ouvrent la voie aux fermiers par une maîtrise plus avancée des maladies. L’hygiène s’améliore dans les fermes ce qui permet d’augmenter les races et de maîtriser certaines maladies comme la tuberculose, la brucellose, ou la peste porcine qui ravageaient le monde rural. La vie rurale dans les années 60 est aussi marqué par le décor l’intérieur. La seule préoccupation n’est plus l’acquisition de matériaux agricoles mais les appareils électroménagers font leur rentrer. En effet, l’eau courante et l’électricité revigorent les campagnes de modernité. Depuis longtemps, en campagne les viandes sont souvent saumurées et salées pour des fins de conservation et gardées soigneusement dans le coin le plus humide de la maison. En hiver les choses étaient moins contraignants dans la mesure où les problèmes de garde ne se posent absolument pas. Mais, la diffusion de ces produits ménagers sont encore très limités le taux d’équipement des ménages dans les campagnes est au-dessus du quart pour des matériels comme le réfrigérateur. La voiture commence aussi à faire ses pas dans les campagnes, jusque dans les années 50 l’acquisition d’une voiture est jugé irraisonnée, le seul luxe était la terre et tout l’argent disponible devrait servir à détenir plus d’hectares. Toutefois à partir des années 60, certains commencent à acheter les R4 et pouvant posséder jusqu’à deux. L’habillement commence petit à petit à se métamorphiser. Les garçons sont souvent en culotte ou en pantalon accompagnés d’un pull-over, les jeunes dames portent des mini-vestes avec un mini-jupe qui ne dissimule pas leurs jambes. Les plus âgés continuent de se vêtir d’une robe longue.
 
Des années passent, la mécanisation se mêle au quotidien des ruraux (électricité, tracteurs, moissonneuses-batteuses, habillements, voitures…). Mais, la vie continue d’être rythmer par les mêmes activités. les travaux liés à chaque saison continuent d’être exercé comme tel. Les labours, les semences, les fenaisons, les vendanges…n’impliquent ni répit, ni vacance c’est un dur labeur. Les volailles sont encore dans la cour de la ferme ils continuent de vivre à l’autarcie malgré que progresse la technologie et la mécanisation. Petit à petit cette modernisation rurale se fait plus ressentir avec les jeunes qui désormais sont plus aptes aux nouvelles innovations.
 
 
'''CONTEXTE'''
 
 
Pendant longtemps, les ruraux vivaient dans l’autarcie. Les principales activités exercées en milieu rural avaient pour fin la satisfaction des besoins quotidiens. En effet, l’élevage et l’agriculture constituaient les activités primordiales dans lesquelles chaque membre de la famille avait une tâche à y accomplir. Dès lors, les travaux étaient très bien organisés de sorte que tous les soins et les nourritures devraient aussi prioritairement être apportés aux animaux qui y participaient activement. En effet, la plupart des activités agricoles de cette époque portait sur des cultures vivrières très variées (potagères, fruitières, viticoles), quant à l’élevage elle était surtout volatile (coqs, canards, oiseaux) sans oublier (les bovins, les caprins, les ovins). Les conditions de travail étaient très dures dans la mesure où, le matériel agricole motorisé ne fut pas trop répandu. L’organisation du travail était une chaîne de maillon dans toutes les familles et tous les efforts physiques étaient au rendez-vous. Les femmes n’étaient pas épargnées des tâches agricoles, combinées à celles des travaux domestiques. Mais, plus les années passent d’important changement sont notés.
 
 
Cependant, regardons les films tournés en milieu rural. Ainsi nous disposons trois films l’un 9,5mm un véritable format amateur, et les deux autres des 8mm jusqu’à présent utilisé par ses qualités d’image sont réalisés par des amateurs différents. Ces différents amateurs apportent des témoignages sur la vie quotidienne en milieu rural. En effet, les films montrent que tout le monde a pris le plus grand plaisir à se trouver ensemble face à la caméra. Une séquence du premier film de Paul Muller réalisé dans les années 40-42 montre prés de quelques secondes, en plan séquence la joie familiale qui permet d’imager le statut des différents intervenants. Une grande complicité avec les animaux, du moment où les deux dames murmurent, chuchotent des mots aux chèvres, le (père) et submergé par la joie de jouer avec son ami (le cochon), lui tirant les oreilles tout en tenant compte de la caméra qu’il fixe de temps à autre. Le plus jeune fils joue avec son chiot au milieu de la cour. Cette dernière image est aussi valable pour le film d’Ernest Weber beaucoup plus récent (1961). Une série d’image montre les volailles qui défilent dans la cours de la ferme et les enfants qui prennent plaisir de jouer avec leur compagnon. Assise dernière un tas de bois cet image montre comment le bois était important qui une fois couper devrait être fendu et séché. Toutefois, le tournage montre les interactions euphorisantes. Le plus jeune qui chasse la caméra, la vieille qui admire les fleurs, et les dames marchant vers la caméra dans divers décors, dans des costumes (en tailleurs), des pull-over et pantalon pour les jeunes garçons. Dans un décor très frappant par la propreté des rues outre la liberté des volailles. La modernité y est encore présente par la présence de quelques voitures souvent rares en milieu rural. L’animation y est avec des pièces de théâtre organisés par les jeunes soit pour une commémoration, soit pour une fête quelconque.  Par ailleurs le film en 9,5mm tourné dans les années 37 témoigne la même vie mais dans des angles différents. Les séries d’images montrent une autre activité du milieu rural beaucoup plus dure. L’agriculture implique tous les membres de la famille, les plus jeunes (garçons-filles) les femmes. Dépourvu de matériel motorisé la préparation des champs, les récoltes, les semences, tous sont confiés aux membres de la famille.
 
|Bibliographie=Firholz Rosalie, Rosalie : Une enfance à la ferme, Edition de l’Est, Nancy, 2003.
 
Gervais Michel, Jolivet Marcel, Tavernier Ives, Duby George, histoire de la France rurale depuis 1994, Seuil, coll. « Points Histoires », 1992, 768p.
 
Jussiau Roland, Montméas Louis, Parot Jean-Claude, l’élevage en France : 10000 ans d’histoire, Educagri, 1999, 369p.
 
Lutz Philippe, La vie à la campagne : petite défense des clochers, des vaches et des potager, Collection « Petite philosophie du voyage », n° 47.
 
Maho Jacques, « modernisation techniques en milieu rural ». In, Études rurales, n°16, 1965, pp. 66-77.
 
Risse Jacques, Histoire de l’élevage français, l’Harmattan, coll. « Alternative rurale », 1994, 365p.
 
Roth Catherine, Et les cerises scintillent toujours « Treize hommes de la terre racontent l’évolution et les révolutions de l’agriculture Alsacienne », présenté par Grodwohl Marc, Maisons Paysannes d’Alsace, 1990.
 
Gibert André « En Alsace rurale », géocarrefour,1954.
 
Delmas C « la vie rurale dans la plaine de Basse-Alsace ». In : Annales. Économie, sociétés et civilisation, 10e année, n°1, 1955.
 
|Documents_annexes=Genre (s) Dominant (s)
 
Films amateurs
 
Élément (s) Structurant (s)
 
• Images du reportage : Oui
 
• Images en plateau : Non
 
• Images d’archive : Non
 
• Séquence d’animation : Oui
 
• Cartons : Non
 
• Animateurs : Oui
 
• Voix off : Non
 
• Interview : Non
 
• Musiques bruitages : Non
 
• Images communes avec d’autres films : Non
 
Comment le film dirige t-il le regard du spectateur ?
 
Pour chaque exemple de film, les images déterminantes sont à la disposition du public. Les images filmées dans leur intégralité permettent de décrire et d’expliquer les faits sociaux-culturels de la vie rurale.
 
Comment la santé et médecine sont-elles représentées ?
 
Les films témoignent l’originalité de la vie rurale, une vie marquée par deux modes de subsistance : le travail de la terre et l’élevage domestique. La santé et la médecine ne sont pas représentées. En effet, elles ne sont pas mises en relation de cause à effet mais les films montrent plutôt comment la vie en milieu rural était faite. 
 
 
Diffusion et réception
 
Où est-ce que le film est-il projeté ?
 
Dans des villages, Projections itinérantes les grandes fermes
 
Communications et événements associés au film
 
Public
 
Amateur
 
Audience
 
Public
 
 
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Version actuelle datée du 10 janvier 2020 à 11:21


Avertissement[1]

Métadonnées

N° support :  0093FH0002
Date :  Entre 1940 et 1942
Coloration :  Noir et blanc
Son :  Muet
Durée :  00:04:42
Cinéastes :  Muller, Paul
Format original :  8 mm
Genre :  Film amateur
Thématiques :  Vie rurale
Institution d'origine :  MIRA

Lieux ou monuments


Molsheim


Article rédigé par

Wolimata Sarr, 05 novembre 2019


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